Processus de travail en 360

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L’un des challenges en imagerie 360 est le processus à dérouler depuis la capture juqu’à l’obtention du résultat cible. Pour vous aider à y voir plus clair, je vous propose ici une représentation visuelle des processus de travail possibles, applicables autant pour la caméra Insta360 ONE X que pour les autres caméras 360 du marché.

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PROCESSUS

Un point important est le choix entre un processus de travail 360 sur mobile ou sur ordinateur, la décision est d’autant plus importante que la passerelle entre le deux n’est pas toujours possible ou documenté. Cette particularité résulte d’une caractéristique important : le format spécifique des fichiers autant pour les photos que pour les vidéos.

Dans votre processus de travail, un fois la partie 360 terminée, vos images et vidéos sont dans un format standard, vous pouvez facilement alterner entre mobile et ordinateur, et ainsi employer l’outil et les logiciels qui vous semblent les plus appropriés.

Le schéma suivant synthétise le processus d’exploitation des images et vidéos capturées par l’Insta360 ONE X.

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FORMAT PROPRIETAIRE

Comme indiqué précédemment, les fichiers produits par l’Insta360 ONE X sont dans un format propriétaire, c’est à dire qu’ils sont spécifiques au constructeur Insta360 et que leur décodage passe (aujourd’hui) obligatoirement par un logiciel édité par cette même société. Les formats sont « .insp » pour les photos à 360° et « .insv » pour les vidéos, que l’on va transformer respectivement en jpg et mp4. Pour cela, selon que vous privilégiez un processus sur appareil mobile ou sur ordinateur, il faudra utiliser le logiciel Insta360 Studio fourni par Insta360 sur les plateformes Mac/PC ou iOS/Android.

En ce qui concerne l’archivage de vos fichiers, afin de limiter la dépendance à la disponibilité d’un logiciel propriétaire, je vous recommande de faire l’archivage des images et vidéos dans des formats standards (JPG, MP4), et éventuellement d’archiver également les fichiers sources propriétaires. Cette solution présente un autre aspect interessant, les fichiers standards sont reconnus par les logiciels de catalogage, et vous permettent ainsi de mieux gérer votre bibliothèque 360.

 

EN SYNTHESE

On le voit, les contenus 360 ne sont pas encore aussi simples à manipuler et à gérer que les formats standards. Allons nous assister dans les années à venir à l’emergence de format nativement 360, la question reste posée. De même, l’offre logiciel n’est à ce jour à mon sens pas très riche pour profiter au maximum des possibilités de la 360. J’espère que nous aurons bientôt des solutions complètes et riches de fonctions dédiées à la 360.